L’obligation très généralisée de la « vaccination » Covid-19 proposée par le gouvernement et votée par une majorité de représentants l’Assemblée de la Polynésie française est censée reposer sur des arguments scientifiques, si l’on en croit le ministre polynésien de la Santé. Il est néanmoins légitime de s’interroger sur la fiabilité de ces thérapies qui n’ont obtenu, très rapidement, qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché et dont les effets secondaires à moyen et long terme sont inconnus.
La vaccination de masse que l’exécutif, via les « élus », veut imposer à une grande partie de la population polynésienne conduit pourtant, au niveau mondial, à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. C’est ainsi que l’estime dans une étude le sociologue et directeur de recherche au CNRS Laurent Mucchielli avec ses co-auteurs scientifiques. Il y a donc urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas. On trouvera ci-dessous une amorce d’analyse qui n’est pas exhaustive mais doit être poursuivie.
+ On a vu et entendu dernièrement le ministre de la Santé, Jacques Raynal, insister avec un argument d’autorité pour tenter de convaincre les « vaccino-sceptiques ». Lors de sa conférence de presse, le 30 septembre, il a déclaré : « quand on injecte un vaccin, on oblige le système immunitaire de la personne à réagir. Cette finalité est à la base de la vaccination, dont le rôle est de stimuler les défenses naturelles de l’organisme pour créer une résistance contre un virus qui peut être mortel. Les vaccins sont des moyens simples, sûrs et efficaces pour se protéger contre les infections. Et ce, depuis plus de 100 ans. Ce n’est pas le vaccin qui tue, c’est le virus. »
Il oublie de dire que les « vaccins » Covid-19 ont été développés de façon très rapide, que certains sont encore en phase 3 d’essai clinique et ne disposent d’ailleurs que d’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché (AMM). Qu’il n’y a par ailleurs aucun recul sur leurs effets secondaires à moyen et long terme. L’observation froide des données de la pharmacovigilance concernant la sécurité des vaccins anti-covid ne laisse pas d’interroger. Les vaccins génétiques utilisés en Europe présentent des risques d’effets indésirables graves (pouvant aller jusqu’à la mort) dans des catégories de la population qui ne sont nullement menacées par la Covid.
+ Il a aussi expliqué sa volonté d’« assurer une protection collective » en insistant : « quand on veut vivre au sein d’une population, quand on vit au sein d’une société, quand on veut rester actif, on ne peut pas n’avoir que des comportements individuels. Il y a des règles à respecter, des règles sociales. »
Or, il apparaît que l’efficacité du vaccin est bien moins forte qu’attendue. En Islande, à Malte, en Angleterre et en Israël – alors que dans ce pays plus de 75% de la population est vaccinée 2 doses – l’épidémie semble repartir. L’université Hebrew University a rapporté par exemple que « 90% des nouveaux cas de plus de 50 ans sont totalement vaccinés. 60% des cas sévères sont également vaccinés ».
En Israël, les autorités ont décidé de fermer les frontières du pays aux touristes vaccinés, indiquant non seulement que la vaccination ne protège pas de la contamination et de la transmission, mais également que la majorité des personnes hospitalisées pour des formes graves sont désormais des personnes vaccinées. Plus, même, Israël a décidé le 3 octobre de rendre obligatoire un rappel de vaccination contre le COVID-19 pour obtenir le pass sanitaire permettant l’entrée dans les restaurants, les salles de sports et de nombreux autres lieux publics. Tout ceci suggère clairement qu’un gouffre sépare le marketing des industriels (repris par la propagande politique) des réalités de santé publique.
Un rapport de l’ANSM vient de relever « un nombre important de cas d’échecs du vaccin Janssen ». Après l’AstraZeneca, c’est donc maintenant le vaccin de Johnson & Johnson qui est mis en cause par l’Agence Nationale De Sécurité du Médicament. L’ANSM indique que « Un signal potentiel a été mis en évidence devant un nombre important de cas d’échec vaccinal avec le vaccin Janssen, avec des patients en réanimation ou décédés du Covid-19, la plupart présentant des comorbidités à risque de forme grave »
+ M. Raynal s’est ensuite lancé dans une condamnation des récalcitrants : « Il est regrettable de voir de la défiance vis-à-vis de la vaccination mais il est d’autant plus regrettable que, malheureusement, il y a quelques professionnels de santé qui sont également réticents à la vaccination. Non seulement ils sont réticents pour eux-mêmes mais ils entraînent une réticence de leurs patients et des personnes qu’ils connaissent, et ça, c’est quelque chose que j’admets difficilement. Quand on est scientifique, quand on est médecin, quand on est professionnel de santé, on est là pour soigner les gens, pour leur garantir qu’ils peuvent être en bonne santé si on les prend en charge avec les bons outils dont on dispose. »
En se positionnant ainsi, (et sans faire mention à aucun moment de traitements possibles) il fait prétention d’une scientificité – qui serait LA seule vraie ! – Or, en France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) publie un « suivi hebdomadaire des effets indésirables des vaccins ». On y découvre, concernant le vaccin Pfizer, que sur plus de 42,5 millions de doses administrées au 1er janvier 2021, 8 689 événement graves sont survenus à partir de l’âge de 30 ans (27,7% du total des événements indésirables) dont 2 551 mises en jeu du pronostic vital, 460 invalidités ou incapacités et 761 décès. Concernant le vaccin AstraZeneca, au 8 juillet 2021, plus de 22 071 événements indésirables ont été déclarés, exclusivement par des professionnels de sante, dont 5 191 événements graves (soit près d’un quart du total…)
+ « Or aujourd’hui, je voudrais que l’on me démontre que les vaccins que nous avons distribués, que nous avons utilisés ne sont pas de bonne qualité », a encore asséné le ministre.
Que dire alors de cette « déclaration des médecins » produite par une alliance internationale de 3 900 médecins et scientifiques médicaux qui condamne fermement la stratégie mondiale de traitement du COVID, accusant les décideurs politiques de « crimes contre l’humanité » potentiels pour avoir empêché les médecins de fournir des traitements vitaux à leurs patients et de supprimer une discussion scientifique ouverte. Le document indique que les recommandations de traitement « taille unique » ( soit exclusivement vaccin) ont entraîné des maladies et des décès inutiles. Ils ont signé « l’Appel de Rome », lancé à l’occasion d’un Global Covid Summit qui s’est tenu du 12 au 14 septembre à Rome (ils seraient aujourd’hui plus de 5 000). (Déclaration des médecins sommet mondial Covid-Rome).
EN SAVOIR PLUS:
Immunité naturelle ou vaccinale ?
+ Pour Henri-Pierre Mallet, médecin épidémiologiste de la direction de la santé, qui tient le même positionnement que le ministre : « L’immunité naturelle est extrêmement variable en fonction du type de l’infection ». Pour lui, la meilleure protection possible, serait donc la combinaison de cette immunité naturelle avec une dose de vaccin.
Or, dans une étude publiée le 7 septembre, des scientifiques japonais confirment grâce aux comparaisons des protéines Spike que le variant Mu, déjà présent dans plus de 39 pays, est le plus résistant aux anticorps neutralisants induits par le « vaccin ». Il est encore plus résistant que le variant bêta, considéré comme le plus résistant. Ce qui démontre une inefficacité des « vaccins », notamment à ARNm contre cette protéine S.
Une étude publiée le 14/08/21 nous montre que la dose de rappel provoque une perte relative de réactivité avec le variant alpha. On remarque aussi que c’est le cas chez les individus précédemment infectés puis vaccinés. Cette perte de reconnaissance des variants commence dès 15 jours après les premières doses et s’aggrave avec le temps. Les résultats suggèrent qu’une troisième dose ne permettra probablement pas d’augmenter l’immunité face aux variants.
Pourquoi il faut se méfier de ces vaccins anti-covid
La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias. Et c’est également au fond de ce gouffre qu’est pour le moment oubliée la question des effets secondaires graves de la vaccination anti-covid.
Pour exemple : Dans un document datant du 11/08/21, l’Agence européenne du médicament annonce trois nouveaux effets secondaires possibles suite à une injection Pfizer/Moderna : L’érythème polymorphe, la glomérulonéphrite, le syndrome néphrotique. Un problème de sécurité facilitant l’infection par des anticorps (ADE) est un risque potentiel pour la vaccination massive, cela signifie que les anticorps du vaccin peuvent faire entrer le virus dans les cellules. Le vaccin fait alors le contraire de ce qui était prévu. L’ADE a été confirmé chez des personnes recevant des vaccins basés sur la souche Wuhan puis exposée au variant Delta. Avec l’arrivée de nouveaux variants, le vaccin peut permettre une virulence et une infectiosité accrues.