« Pour éviter la mort, on a arrêté la vie. »
Marie-Estelle Dupont, psychologue
Merci à cette femme, au travers de son interview (liens en bas du post), d’avoir mis en lumière des problèmes tout aussi importants que la santé physique: à savoir la santé mentale et psychique, mais également l’importance des liens sociaux qui sont actuellement malmenés à outrance.
Depuis le debut de cette crise sanitaire et de façon mondiale, les choix se sont basés uniquement sur des chiffres: estimations, prévisualisations, statistiques, pourcentages; en ne tenant jamais compte de l’Humain et de la Vie dans son ensemble. Mais Vivre, est-ce seulement être maintenu en vie le plus longtemps possible?
A vouloir pallier des problèmes à court terme, on en oublie bien souvent les conséquences dans les mois ou années à venir, et ainsi le bénéfice/risque global (aussi bien présent que futur).
Que deviendra l’Homme de demain? Entre des enfants coupés dans leur développement devenus des adolescents ultradéconnectés du réel, et des adultes hypochondriaques surendettés, peut-être qu’une société à la Walking Dead n’est pas si loin de nous finalement… ou peut-être est-il tout simplement temps que ce système qui s’essouffle, où seuls les chiffres comptent, touche à sa fin pour renaître de ses cendres en une version bien plus pérenne, et plus respectueuse de la Vie dans son ensemble? L’avenir nous le dira.
Voici les liens vers l’interview de Marie-Estelle Dupont sur Sud Radio, qui m’a inspirée cette réflexion ce soir :
Version courte :
Version complète :
Article partagé avec l’accord de son auteur Julie Doumic. Cet article ne présente aucun caractère haineux ou allant à l’encontre d’une personne en particulier il dresse juste un constat.