
Communiqué de presse
Tous ensemble contre l’obligation vaccinale !!!
En cohérence avec La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, la Convention européenne des droits de l’homme, la Constitution française, la résolution 36-55 de l’ONU, la loi sur le respect du corps humain insérée dans le Code Civil, La loi Barnier sur le principe de précaution, le Code de déontologie médicale inséré dans le Code de la santé publique, la charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne et la loi Kouchner insérée dans le code de la santé publique ;
Les Collectifs des femmes de Polynésie, Nunaa’a A Ti’a, Covid 19 A ti’a Polynésie, A tamau i te hono, appellent à la mobilisation de tous contre la loi du Pays n° 2021-37 du 23 août 2021 en Polynésie française, généralisant à la grande majorité des secteurs d’activités l’obligation vaccinale contre la covid 19.
L’ensemble des collectifs engagent des recours en justice contre cette loi entachée de nombreuses illégalités, pour demander son annulation, en convergence avec de nombreux avocats de plusieurs pays qui ont soumis une demande d’enquête à la Cour pénale Internationale avec apport de preuves, y compris des déclarations sous serment d’éminents experts, contre les gouvernements de plusieurs pays : Royaume Uni, France, République Tchèque, Slovaquie … et leurs conseillers, pour crimes contre l’humanité et violation du code de Nuremberg. Ils ont demandé une suspension immédiate de l’ensemble du programme d’injections contre la covid19 et la fin des tests sur les personnes asymptomatiques.
En parallèle de ces recours, les collectifs demandent la reconnaissance officielle et la préconisation des traitements précoces alternatifs, efficaces, écartés par les instances officielles pour vanter les vaccins comme seuls recours. Des traitements précoces alternatifs cliniquement validés par des centaines d’études indépendantes et publiquement exposés par de nombreux spécialistes d’envergure mondiale sans conflits d’intérêt. Par ailleurs, le conseil d’Etat évoquait au mois de mars 2021« l’efficacité partielle » du vaccin et une « efficacité devenue particulièrement contingente avec l’arrivée des nouveaux variants », stipulant que « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. » Et que « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu ».
Les collectifs précisent que ces actions ne sont en aucun cas des manœuvres « complotistes » comme le soulignent certaines personnes à court d’arguments pour justifier l’imposition du vaccin, mais bel et bien des actions visant à défendre les droits de chaque être humain et plus particulièrement les Polynésiens.
Aussi, toutes les personnes ne souhaitant pas se faire vacciner et qui cherchent depuis le vote de cette loi liberticide un moyen de faire valoir leur droit, peuvent prendre contact avec les collectifs et celles désirant participer aux différents recours peuvent prendre l’attache du Collectif des femmes de Polynésie à collectifdesfemmes_polynesie@protonmail.com ou l’association A Tamau i te Hono à atamauitehono@protonmail.com
N’ayons plus peur de défendre nos droits face à l’injustice. La vaccination doit rester un choix et non une obligation.
Les collectifs.